BIJOU Vie, mort et résurrection d'un groupe passion par Jean-François Jacq Livre broché: 294 pages Editeur : Editions L'Harmattan (3 avril 2014) Collection : L'Ecarlate Prix éditeur: 23,75 €
Que reste-t-il de Bijou quarante ans après? Des disques et c'est le principal. Ce groupe de rock français, fut le premier à oser des reprises alors que leurs contemporains, Joe Strummer et Johnny Rotten en tête prétendaient faire table rase du passé. Du rock en français coincé entre la vague pop du début des années 70 et la vague alterno des années Mitterand, le rock comme révolution prolétarienne. Jean-François Jacq est un fan qui nous conte l'histoire d'un groupe effronté mais fier, jouant un rock éternel. Amazon.fr
AH Bijou! Le groupe qui a fait passer la France des pattes d'eph aux costards noirs cintrés... Avant eux, le terme "rock français" n'avait aucun sens. J'ai relu hier le début du livre de Christian Eudeline, "nos années punk" avec une longue et passionnante interview sur les débuts du groupe... Le bouquin de J-F jacq est déjà commencé (eh puis à l'harmattan en plus: Bijou rentre dans les sciences humaines!) Merci pour ton blog.
"Le groupe qui a fait passer la France des pattes d'eph aux costards noirs cintrés" J'aime la formule! Le livre de Christian Eudeline (dur de se faire un prénom!) est un des meilleurs bouquins sur le punk français et l'interview à laquelle tu fais allusion, passionnante!
Pour poursuivre la discussion sur l'arrivée des vestes noires dans le rock français, Eudeline (Patrick cette fois) se souvient d'un concert des Ramones à Londres en 77, il y a là Brian james, Mick Jones, Tony James et donc Eudeline, chemises blanches, vestes noires en velours et coupes à la Keith Richards... Marc Zermati les surnomme alors "Le gang des vestes noires"
Il y a sans doute un livre à écrire sur les vestes noires...
You can't judge an apple by looking at a tree You can't judge honey by looking at the bee You can't judge a daughter by looking at the mother You can't judge a book by looking at the cover
Oh, can't you see, oh, you misjudge me I look like a farmer but I'm a lover Can't judge a book by looking at the cover, oh, my
Oh, come on in closer, baby Hear what else I gotta say You got your radio turned down too low Turn it up, oh
You can't judge sugar by looking at the cane You can't judge a woman by looking at her man You can't judge a sister by looking at her brother You can't judge a book by looking at the cover
Oh, can't you see, oh, you misjudge me I look like a farmer but I'm a lover Can't judge a book by looking at the cover, come on
You can't judge a fish by lookin' in the pond You can't judge right from looking at the wrong You can't judge one by looking at the other You can't judge a book by looking at the cover
Oh, can't you see, oh, you can't judge me? Look like a farmer but I'm a lover Can't judge a book by looking at the cover
Lee Brilleaux avait tout compris car effectivement le problème des vestes noire en velours ce sont les pellicules qui s'accrochent sur les épaules du veston. Et étant donnée l'hygiène capillaire déplorable de nos héros des 70s le choix d'une veste grise est tout simplement génial. je pense d'ailleurs que le port du perfecto qui va se généraliser par la suite n'est pas sans rapport avec l'usage plus que modéré du shampoing chez nos rockers préférés.
BIJOU Vie, mort et résurrection d'un groupe passion
RépondreSupprimerpar Jean-François Jacq
Livre broché: 294 pages
Editeur : Editions L'Harmattan (3 avril 2014)
Collection : L'Ecarlate
Prix éditeur: 23,75 €
Que reste-t-il de Bijou quarante ans après? Des disques et c'est le principal. Ce groupe de rock français, fut le premier à oser des reprises alors que leurs contemporains, Joe Strummer et Johnny Rotten en tête prétendaient faire table rase du passé. Du rock en français coincé entre la vague pop du début des années 70 et la vague alterno des années Mitterand, le rock comme révolution prolétarienne. Jean-François Jacq est un fan qui nous conte l'histoire d'un groupe effronté mais fier, jouant un rock éternel. Amazon.fr
Lecture chaudement recommandée !
RépondreSupprimerMince, les bons bouquins fleurissent ces derniers temps à propos de notre perversion préférée... Allez hop ! Dans la Wishlist ! Merci.
RépondreSupprimerAH Bijou! Le groupe qui a fait passer la France des pattes d'eph aux costards noirs cintrés... Avant eux, le terme "rock français" n'avait aucun sens. J'ai relu hier le début du livre de Christian Eudeline, "nos années punk" avec une longue et passionnante interview sur les débuts du groupe... Le bouquin de J-F jacq est déjà commencé (eh puis à l'harmattan en plus: Bijou rentre dans les sciences humaines!) Merci pour ton blog.
RépondreSupprimer"Le groupe qui a fait passer la France des pattes d'eph aux costards noirs cintrés" J'aime la formule!
RépondreSupprimerLe livre de Christian Eudeline (dur de se faire un prénom!) est un des meilleurs bouquins sur le punk français et l'interview à laquelle tu fais allusion, passionnante!
Pour poursuivre la discussion sur l'arrivée des vestes noires dans le rock français, Eudeline (Patrick cette fois) se souvient d'un concert des Ramones à Londres en 77, il y a là Brian james, Mick Jones, Tony James et donc Eudeline, chemises blanches, vestes noires en velours et coupes à la Keith Richards... Marc Zermati les surnomme alors "Le gang des vestes noires"
RépondreSupprimerIl y a sans doute un livre à écrire sur les vestes noires...
les vestes noires avant qu il la retourne ???????
RépondreSupprimeret
Lee Brilleaux avec sa veste grise marquée à la sueur en fin de concert ... ????
le costume fait pas tout peut etre ??
à vous Mr MR
RépondreSupprimerYou can't judge an apple by looking at a tree
You can't judge honey by looking at the bee
You can't judge a daughter by looking at the mother
You can't judge a book by looking at the cover
Oh, can't you see, oh, you misjudge me
I look like a farmer but I'm a lover
Can't judge a book by looking at the cover, oh, my
Oh, come on in closer, baby
Hear what else I gotta say
You got your radio turned down too low
Turn it up, oh
You can't judge sugar by looking at the cane
You can't judge a woman by looking at her man
You can't judge a sister by looking at her brother
You can't judge a book by looking at the cover
Oh, can't you see, oh, you misjudge me
I look like a farmer but I'm a lover
Can't judge a book by looking at the cover, come on
You can't judge a fish by lookin' in the pond
You can't judge right from looking at the wrong
You can't judge one by looking at the other
You can't judge a book by looking at the cover
Oh, can't you see, oh, you can't judge me?
Look like a farmer but I'm a lover
Can't judge a book by looking at the cover
Bo Diddley - You Can't Judge A Book By The Cover
Lee Brilleaux avait tout compris car effectivement le problème des vestes noire en velours ce sont les pellicules qui s'accrochent sur les épaules du veston. Et étant donnée l'hygiène capillaire déplorable de nos héros des 70s le choix d'une veste grise est tout simplement génial. je pense d'ailleurs que le port du perfecto qui va se généraliser par la suite n'est pas sans rapport avec l'usage plus que modéré du shampoing chez nos rockers préférés.
RépondreSupprimerBrilliant(ine) !
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